Bonjour à tous,
Lagabe, je comprends vos arguments mais nous sommes devenus totalement « addicts » aux crédits à la consommation et nos « besoins » sont stimulés par le marketing et la publicité, le paraître, sentiment d’appartenance à un groupe par les biens et services consommés.
Heureusement, nous ne sommes pas au niveau des USA, comme l’a très bien analysé Paul Jorion : http://www.pauljorion.com/index.php?no_article=87
Cependant, avec 7,5 millions de surendettés sans recours à la faillite personnelle, la situation va s’aggraver.
Une première solution, immédiate, serait de limiter drastiquement ou supprimer les réserves fractionnaires qui résoudrait le problème de l’argent-dette.