Épilogue : Arletty lance « Si mon cœur est français, mon cul, lui, est international ! »
Conclusion : le nouvel ordre mondial et ses laquais internationalistes ont échappé à la tonte. Lorelei leur coure derrière, tondeuse à la main, « le peupleu aura les poils de vos misérables fesses de collabos. Viva Zapata ! »
Qu’est-ce qu’on s’amuse au guignol révolutionnaire.