Bonjour, Georges.
Par chance, elle commence à intéresser les organisateurs de concerts et les éditeurs de musique. Espérons que ce ne sera pas un effet de mode sans lendemain et que Louise Farrenc sera progressivement mieux connue du public, à l’image du Chevalier de Saint-Georges (18e siècle), durablement sorti de l’oubli par l’éditeur Arion dans les années 70.