bonjour aldous
C’est à peu prés comme tu l’écris.
Nous sommes dans un
monde de communicant ou depuis fort longtemps, le mot qui désigne
crée, fonde et castre en même temps.
Si nous percevons des
émotions, les prononcer exige une expression vocale que nous avons
structurée en langage grammatical et sémantique.
Ainsi si 100 personnes disent je t’aime tous comprennent,
pourtant il y aura autant de valeur du je t’aime que de personne,
donc le mot précise une émotion mais n’en donne pas la puissance,
c’est pour cela que nous ajoutons des adjectifs, sans toute fois
coller à la réalité de l’émotion vécu par celui qui
l’exprime.
Ainsi sur une ligne du zéro à l’infinie le mot prend une place
fondatrice, mais ne donne pas toutes les autres nuances et
possibilités si bien que les individus qui perçoivent le mot se
l’approprie et réalise ce que l’on attend d’eux.
Nous pouvons donc sortir de ceci qu’avec difficulté, et
rarement par la raison car nous sommes incapables d’inventer un mot
qui ne soit autre qu’un néologisme, mais nous indique aussi que
nous ne sommes pas contraint de resté enfermé dans un processus
clos, puisqu’ils y a des possibilités infinis, qui n’attendent
pour apparaitre que les éléments de leurs réalisations se conjuguent.
Ainsi les communicants jouent sur du velours.
ddacoudre.over-blog.com.
cordialement.