La solution n’est pas d’attendre 2012. Les principaux prétendants à la présidentielle
sont d’accord pour revenir à un déficit de 3 % en 2013 et aucun ne défend ni le
refus de payer la dette, ni un plan radical pour prendre sur les profits,l’urgence est de prendre le mal à la racine, de remettre en cause radicalement le
remboursement de la dette et l’austérité, voir :
http://2ccr.unblog.fr/2011/10/10/refusons-de-payer-leur-crise/