en fait le problème n’est pas l’euro, comme le dit Allard. C’est sa valeur symbolique qui cristallise les ressentis...
l’euro a eu le malheur de naître dans un système pourri, dans une vision économique tronquée par l’image de la mondialisation heureuse et la notion de grand marché.
Hâtivement mis en place , certes, cet euro n’y est pour rien.
le système financier est en cause, la notion de croissance sans fin aussi.
la problématique des politiques de régulation via les Etats souverains est en cause et aussi l’emballement des dettes publiques que l’on croyait gérables tant que la croissance et la plus value prévalaient....