Les dernières élections au Canada ont mis un point final au séparatisme Québécois.
Les électeurs du Québec ont envoyé le Parti Québécois aux oubliettes, ce parti séparatiste a été littéralement écrasé, et ils ont voté à une majorité écrasante pour le Parti Libéral qui est ouvertement fédéraliste.
Dans ces conditions le débat sur l’indépendance du Québec est clos dans les faits, les Québécois n’en veulent pas.
Il ne reste plus qu’à faire reconnaître et à installer définitivement le bilinguisme du Canada dans les institutions de la Fédération.
Le Canada est un pays bilingue, au même titre que la Belgique est un pays trilingue, ou la Suisse est un pays quadrilingue, il faut inscrire cette vérité dans le marbre, les anglophones devrait l’accepter, comme l’évolution des esprits dans la partie anglophone du pays semble l’indiquer.
Un dernier point : les intérêts bien compris de la France ne se trouvent pas dans un soutien aventureux du séparatisme Québécois, ni dans un soutien aux séparatismes Wallon ou Vaudois.