Bonjour l’auteur, le seul probleme est qu’ils sont plusieurs ! 

 La question qui me vient a l’esprit est : de quel Sarkozy s’agit t il  ? 

Celui de Nicolas SARKOZY qui était imprimé sur les bulletins de vote,

Ou celui de Nicolas Sarközy couramment utilisé dans la presse,

Sans parler de son nom de la villa baptisée Ros’hen,Nicolas Sarkozi

 Ou encore celui de Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa qui figure sur la liste des bénéficiaires de la légion d’honneur ? Comment peut il toucher sa pension sur un autre nom ? 

S’agissant d’un bénéficiaire d’allocation d’origine étrangère , il y a belle lurette qu’il serait sous les verrous (ceci est fréquemment détecté à la SS) .

 Connaissant suffisamment l’individu attiré par tout ce qui brille, je ne serait pas étonné qu’on lui découvre plusieurs comptes, lui permettant de cacher ses revenus, voire même ses plus-values que l’on a toujours pas réussi à élucider ? 

Sarko Polygamme ou jamais marié ?

à la date du 21 mai 2007 du sieur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA, en tout cas aucun émargement ne fait ressortir qu’un quelconque changement légal de patronyme éventuellement, ne soit jamais intervenu concernant cet individu.

Pour preuve supplémentaire, dans les registres de l’état-civil des mairies de Paris, aucun Monsieur Nicolas SARKOZY n’a jamais été marié alors que ce grand maître de l’ordre occulte de la légion d’Honneur dont le nom figure au verso de l’onzième anneau - sur 16 -du collier l’ayant intronisé « président de la république française » le 16 mai 2007 avant sa prise de fonction, est crédité d’une épouse : Cécilia « SARKOZY » !

A fortiori que même un mariage entre une Cécilia et un Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA aurait de toute façon été nul puisque le divorce a été porté sur les registres de l’état civil de la mairie de Paris le 25 octobre 1996, pour un « re »mariage… l’avant-veille 23 octobre 1996 et alors même que le maire ayant officié lors du mariage de la-dite prénommée Cécilia avec Monsieur Jacques MARTIN se nommait… Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA. En effet, sur le territoire national français, la polygamie – tout comme son pendant, la polyandrie -, sont prohibées de par la loi, étant déduit ici, à titre superfétatoire, que la publication des bans pour ce supposé mariage du 23 octobre 1996 ne pouvait être légale intuitu materiae, en l’absence de l’émargement – de surcroît au minimum 10 jours avant la publication légale -, du divorce dans les registres de l’état civil instaurés par feu Napoléon, du fait intrinsèquement… de la non inscription du divorce avant cette date de « mariage ».