Bonjour l’auteur,
"Ces mêmes dirigeants qui, par une funeste ironie du sort, ont poussé nos
dépenses publiques — 56% du PIB, contre 50.3% de moyenne en Europe et
46.6% en Allemagne — à un moment où la crise entamait les recettes
fiscales de l’Etat, de façon prévisible et durable."
Je ne peut pas vous laisser écrire ça ! Ce qui a entammé les recette fiscales, c’est d’abord et surtout les cadeaux fiscaux faits par les gouvernements successifs, et accéléré par ce dernier gouvernement. Les dépenses publiques n’ont en fait que très peu augmentés, par contre les recettes ont diminué de manière très importante. Voir le problème de dette uniquement du coté dépense, c’est l’argumentaire principal qui permet de justifier l’austérité.
Sinon sur le reste de votre texte, comme à votre habitude c’est excellement dit !