Les comités d’auto-défense de la Race Supérieure sortent les crocs, c’est bon signe, Michel Tarrier touche une corde sensible et sans doute essentielle à l’équilibre compromis (chose due) des philosophies issues du livre des livres.
Que certains s’agacent à l’écornement d’une idéologie bi-millénaire prouve que ce débat est nécessaire.
Gageons que les cris de vierge effarouchée des tenants du dogme monothéiste (et ses variantes peu ou prou pro-consommatrices) sont les ultimes soubresauts d’une société aux abois, accrochée à ses petits privilèges et pressentant une fin peu glorieuse et vidée de sa substance vitale.
Le sujet mérite mieux que des aboiements de chiens ventrus.