J’avoue avoir manqué de courage pour lire tous les commentaires ; certains comme à l’habitude sont désolants d’a-priori, de mé-connaissances et de fausses informations ; d’ailleurs nous vivons dans un monde de mensonges à tous les niveaux tous boostés par des préoccupations commerciales et d’asservissement..
Dans le texte de l’auteur je ne peux pas laisser passer certaines inéxactitudes .
Impôssible de parler de végétarisme ou même de semi-végétarisme, régime qui incluerait volaille et poissons. La volaille c’est de’ la chair blanche, mais elle saigne comme le mammifère bovin. Le poisson c’est également de la chair animale.Coupez la tête d’un thon et regardez s’il ne saigne pas. De toute façon volaille et poisson sont des animaux à chair .
La biologie de l’organisme de l’homme comparativement aux autres mammifères est sans ambiguïté : frugivore ! L’omnivorisme n’existe pas (ours) c’est un accomodement que l’homme s’est imposé en sortant de sa niche écologique.
A chaque espèce est dévolu un certain type de nourriture. Les tolérances dues aux changements climatiques et environnementaux n’ont aucune influence la-dessus, l’acquis ne devient pas de l’inné. 
L’épisode ceulleur/chasseur est une très brève période de notre histoire et NON encore une fois NON nous ne descendons pas du singe ! Les grands singes se sont séparés de la lignée humaine il y a pas mal de temps et leur niche les a obligés à régresser, de plus ils sont tous végétaliens, apprécient les fruits lorsqu’on leur en donne mais ne chassent pas sauf certain vent de folie (rare) montés en épingle et parlant de besoin de protéïnes...N’importe quoi pour justifier de ce que l’on ignore mais qui agrémente joliment le fait que MËME les grands singes, si paisibles ont besoin de protéïnes.
Il n’y a AUCUNE espèce qui pour vivre comptabilise ses protéïnes, glucides vitamines, l’équilibre entr’elles ainsi que le nombre de calories. Là l’être humain surf sur la crétinerie, mais personne ne bronche, c’est officiel par les Professeurs X et Docteurs machin tous chercheurs et experts en matière de nutrition, passons.
J’en viens à la question du lait, puisque les multinationales en font un produit phare et absolument nécessaire et les laits maternisés s’ils ont maintenu en vie quelques poupons sans mère sont malgré tout avec les produits laitiers yaourts compris une belle saloperie, même aromatisés chimiquement ou naturellement.
Le lait de femme, le seul valable pour un petit humain contient 3% de protéïne, vache et autres beaucoup plus. A la fin de l’allaitement féminin, son taux de protéïne est descendu à 1% ce qui signifie qu’à 3 ans un petit d’homme n’a pas besoin de plus de protéïne que 1,5% pour toute sa croissance et sa vie d’homme. Ce 1% est contenu dans tous les légumes crus et les fruits contiennent en plus du fructose. Point.
Certains peuples indigènes très robustes et infatigables se nourrissent presqu’ exclusivement de patates douces ou de racines et curieusement les analyses ont révélé un taux de protéïnes de 1,63%.
L’accomodation à la viande est une déviance rien d’autre ! Transmise de génération en génération, sa cuisson en permet une meilleure digestion mais non son assimilation, c’est un aliment mort et que je sache si l’aliment a une petite incidence sur la physionomie à long terme mis à part les maladies qu’elle engendre en bouchant les artères et forcant les organes d’épuration à un surmenage destructeur, depuis le temps que l’homme mange de la viande (disais-je) les crocs ne lui ont pas poussé, ni des griffes rétractiles ou même préhensible, son organisme ne secrète toujours pas ce que secrète celui des carnivores, un acide qui brûlerait le notre, son intestin ne s’est toujours pas raccourci mais il pue toujours autant car lui a des pores excudant des odeurs insupportables et passez donc derrière dans un wc public ! Et au petit matin, avec un peu d’âge et l’accumulation de ces toxines qu’il ne peut plus éliminer, c’est un cas de séparation de chambres au minimum et de divorce au pire.
Je signale que les rhumatismes et des tumeurs ont été décelés sur des squelettes de nos très lointains ancêtres. Merci l’ancêtre !
La nature aurait-t’elle fait une erreur quelque part ? Certainement pas, les animaux sauvages n’ont aucun besoin de vétérinaire ; ils sont sains et ils vivent ou ne le sont pas et sont abandonnés par la mère...impitoyable !
L’homme lui a fait le contraire avec les conséquences, une humanité dégénérée, tant physiquement que psychologiquement. A tout effet correspond une cause, celle-ci étant l’éffet d’une cause antérieure etc...

Le reste de l’Article bien documenté et brillamment présenté, peut-être un peu trop touffu, mais trop difficile de passer sous silence ce qu’il en est exactement. On ne peut que le remercier de tout ce travail qui somme toute ravive les consciences endormies.