Désolé, mais je fais de la voile à mes heures.
Et du vélo aussi.
Mais plus en compétition.
Et je n’arrive plus à vibrer pour les exploits pleins d’anabolisants de nos soi disant champions.
Pour la voile, je suis très nostalgique de de Tabarby des premiers Pen Dick, de l’époque où il n’y avait pas de routeur, et où Bernard Moitessier choisissait de ne pas franchir la ligne d’arrivée en vainqueur, lors de la golden globe challenge, et de continuer en solitaire.
Ca allait peut-être moins vite, mais ça avait une toute autre gueule.
Car ce n’est pas la vitesse qui compte, mais l’esprit du vent.