Pour compléter le propos de monsieur Moreigne, il faut noter qu’un tel mécanisme de banque de semences a été utilisé au Rwanda et en Ouganda pour réintroduire des variétés locales de haricots.
Ce n’est donc pas de la science-fiction et la faible dépense que nécessitent de tels travaux est une forme d’assurance indispensable (d’un point de vue agricole, mais aussi afin de sauvegarder la biodiversité végétale.
Cordialement.