@ Alois Frankenberger
C’est tout simple. J’ai acheté cette propriété avec mon épouse alors qu’elle courait à la ruine. C’est l’époque où la télévision faisait l’éloge des fous de la restauration. C’est un travail absolument passionnant que de remettre tout en état et ce n’est pas fini. Mais si la collectivité vient me planter des maisons type hangars agricoles en plein dans le champ de visibilité, et pour la propriété et pour les promeneurs, alors là, rien ne va plus. On se sent complètement désavoué.