J’ajoute, ce que certains ne semblent pas avoir compris quand j’écrivais :
"A titre de comparaison, le projet international de fusion (très) chaude ITER à Cadarache (France) dont on espère,
à coup de dizaines de milliards d’euros d’argent public, pouvoir
extraire les premiers kilowatts dans cinquante ans ou plus et dont on
connaît mieux aujourd’hui le caractère hautement aléatoire et non
raisonnable (voir l’article publié le 13/01/12 sur Mediapart : « Iter, le naufrage »), ... peut aller se rhabiller et surtout se réorienter vers un projet plus utile pour la société.’
que je ne soutiens bien évidemment aucunement ITER, que du contraire (ce qui me semble assez clair). J’ai même beaucoup travaillé (bénévolement) sur ce dossier avec JPP et Michèle Rivasi.