Loin de nous de nous réjouir du licenciement de 433 personnes qui à mon sens ne sont que des victimes colatérales, mais c’est un soulagement de savoir que la déchéance sociale (et familliale) de centaines de milliers de français est quelque peu ralentie du fait d’un moindre recours à cet infâme crédit « revolving » qui ne profite qu’à quelques usuriers et actionnaires, lesquels avaient (et ont encore) la bénédiction du pouvoir en place.
Dans le même registre, on pourrait encore disserter sur l’opportunité de l’industrie de l’armement et de celle du tabac, par exemple.