bonsoir,
Philippe Tesson incroyant ? comme vous y allez !
« L’homme se sent alors un terrain habité où luttent dieux et démons » et
- P 192 : « Christ, j’aime cet homme qui pardonnait aux femmes adultères....... Je me sens de la chrétienté, ces étendues où des hommes, décidant de vénérer un dieu qui professait l’amour....... Mais ce qui me retient, c’est le christianisme, ce nom que l’on donne au tripatouillage de la parole évangélique........ »
- P 200 : « Aimer c’est reconnaître la valeur de ce qu’on ne pourra jamais connaître. Et non pas célébrer son propre reflet dans le visage d’un semblable. »
De grâce, tenons le simplement pour anticlérical, comme il nous y invite.