Cher Gorg,
Si nous étions, vous et moi, militants au sein d’un hypothétique parti animé par Claude Onesta (que j’admire beaucoup en tant que sportif), nous nous arrangerions pour arrondir les angles et « parler comme notre chef ». Il se trouve que cela n’est pas le cas et nous devons bien admettre que nous sommes en désaccord sur l’issue possible du prochain scrutin présidentiel. Bonne soirée !