Mitterrand avait, au départ, fait des concessions au mouvement social. Mais en l’occurrence la trotskyste Arlette était à côté de la plaque. On a besoin de l’instruction pour exercer dans la pratique sa pleine citoyenneté. C’est le levier pour exercer une influence réelle sur la politique et, par là, sur la question du chômage.
De nos jours, les électeurs sont placés devant le afit accompli des programmes que les « élites » veulent bien leur servir, et ne votent pas Arlette pour autant. Quant au « pote » Besancenot, il est très content de se frotter à la « gauche » en place et parle même de foot à présent...