Il faut aussi faire un peu la part des choses en Allemagne car les responsabilités pèsent plus sur les partis libéraux allemands que sur l’ensemble du pays. Par exemple, les libéraux français ont une part de responsabilité, dans la financiarisation des économies, beaucoup plus grande que les interventionnistes allemands. Le clivage nationaliste, malgré la propagande souverainiste, ne correspond pas à la réalité de la situation, c’est le clivage entre les grandes théories économiques qui est en jeu.