Il est vrai que le législateur n’a pas pris en compte l’irruption de l’informatique dans la gestion des associations. Nous (les responsables d’associations) n’avons plus de registres, mais des dossiers sur support numérique et/ou sur feuilles assemblées. Tant que la tolérance actuelle n’aura pas laissé place à un texte explicite, on peut facilement tacler une association qui gène !