Mouais.
La plume du jeune Bedos est trempée dans un vitriol aussi décapant qu’un yaourt vanille.
Je n’entends pas défendre la dame ainsi insultée, mais tout de même, qui le trouve drôle, ce petit chéri de la télé qui s’en est mangé plein la tête de la bouche d’une jeune étudiante face à laquelle il n’a eu d’autre réponse, une fois de plus, que l’insulte (j’ai oublié, mais ça relevait du genre « gueule de connasse » et autres humoristiques et décapantes métaphores).
J’arrive pas à comprendre qu’un tel blaireau soit royalement rémunéré pour écrire aussi mal.