« Ils ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux ».
En finissant ainsi votre article, vous rappelez utilement aux citoyens que même dominé par la finance internationale (ce que personne ne peut contredire) il lui reste toujours la possibilité de changer le cours de l’histoire.
Cette situation ou la finance (mais qui sont-ils en fait ?) finit par dicter sa loi aux politiques et aux gouvernements n’est pas une fin en soi. Ce n’est en aucun cas une fatalité. Oui ce pouvoir « indiscernable » de la finance internationale est grand et puissant parce que trop d’entre nous se sont mis à genoux, à commencer par une bonne partie du personnel politique.
Même si ce n’est pas simple, et que cela commande beaucoup de courage il est encore temps, il est encore possible de se mettre debout.
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