... un auteur manifestement à la con dont peu d’agoravoxiens auraient entendu parler sans votre article.
En plus, ce serait du premier degré. De la sorte, les dystopies auxquelles vous faites référence (984, Fahrenheit 451 ou Le meilleur des mondes) ne seraient plus perçus comme des repoussoirs mais au contraire comme des modes d’emploi ou encore « manuels de l’utilisateur ».
Vous avez probablement raison de prendre les devants, au vu du fait qu’il y en a bien qui lisent du Hubbard en trouvant cela génial.
Décidément, la Littérature est en souffrance.
Publié aux belles lettres, le truc ? On aura tout vu.