« Le monde a commencé sans l’homme et il s’achèvera sans lui. »
C’est une évidence, sauf peut-être pour les humains.
Le Terrien occidental, en état d’euphorie temporaire
La seule chose qui le fasse sortir de cette euphorie n’est-elle pas une perspective de la réduction de sa consommation ?
Serons-nous la première espèce à disparaître, comme le
prédisent les scientifiques, ou au contraire la dernière à survivre
comme l’entendent les économistes ?
Il y a du pour et du contre. Du pour parce que, privée de sélection naturelle depuis 2 siècles elle est génétiquement faible. Du contre parce que les humains ont quand même quelques tours dans leur sac qui leur permettraient de survivre quelques décennies à l’ensemble des autres espèces éliminées par lui. La question est ouverte, mais est-ce bien important ? Nous ne pouvons survivre indépendamment du reste du monde vivant, c’est tout ce qui importe. Nous sommes en train de scier la branche sur laquelle nous sommes assis.