Merci Z, vous m’arrachez les mots de la bouche.
Il faut en effet voir le problème avec une approche systémique. Il est inutile d’espérer avoir une bonne santé si par ailleurs l’approvisionnement en eau potable (la prochaine ressource non renouvelable qui viendra à manquer) ne suit pas.
Pour ce qui est de l’influence des efforts faits en France, je ne suis pas du tout d’accord avec vous. Premièrement, la sobriété qui est prônée (première étape, lutte contre le gaspillage) est une source de gain de productivité qui bénéficierait aux entreprises françaises et européennes.
Ensuite, l’exemple que suivent actuellement les pays comme la Chine ou l’Inde, quel est-il ? Celui des pays occidentaux, car ils se disent : « Si eux ont tout ça, pourquoi pas nous ? » (comme, par exemple, une voiture pour deux personnes en France). En leur montrant un autre exemple (nous vivons dans un environnement sain, ne manquons pas d’eau, dépassons très peu d’énergie - et en toute indépendance, et cela en ayant un bon niveau de vie), nous provoquerons un cercle vertueux, nécessaire - encore une fois - d’un point de vue systémique, puisque leurs écarts provoquerons nos conséquences climatiques.
Cordialement.