"quelle est donc la réponse que vous apportez à des malades
tétraplégiques en grande souffrance, leur famille et leur désire de
mourir dans la dignité ?«
Peut-être les aider à mieux vivre la fin. Pour les souffrances physiques, nous avons ce qu’il faut pour les atténuer largement. Le problème c’est la souffrance psychologique surtout.
Mais quelle réponse apporte-t-on aux personnes qui s’exilent en Allemagne par peur d’être euthanasiées ?
On ne peut pas »oublier" ces dérives, il faut en tenir compte.