Interviewé lors d’une émission politique
très populaire en Grèce, Theodorakis a averti que si la Grèce se soumet
aux exigences de ses soi-disant « partenaires européens », c’en sera
« fini de nous en tant que peuple et que nation ». Il a accusé le
gouvernement de n’être qu’une « fourmi » face à ces « partenaires »,
alors que le peuple le voit comme « brutal et offensif ». Si cette
politique continue, « nous ne pourrons survivre (…) la seule solution
est de se lever et de combattre »...........
http://2ccr.unblog.fr/2011/11/07/les-banques-rameneront-le-fascisme/