Bonsoir, Jppinon.
En matière de temps de parole, les médias apliquent tout simplement la législation qui, jusqu’au dépôt des candidatures (date limite le 19 mars), les oblige à respecter un temps de parole proportionnel aux scores obtenus par les différents partis au cours des précédents scrutins.
A compter du 20 mars, entrera en vigueur l’égalité du temps de parole pour les candidats retenus par le Conseil constitutionnel et leurs porte-paroles, mais cette égalité ne sera encore que relative car les journalistes ou les commentateurs pourront continuer leurs interventions sur les bases antérieures.
Viendra enfin le temps de parole strictement égalitaire à compter du 9 avril.
Les médias ne sont donc pas en cause, c’est le système tel qu’il existe qui est inégalitaire, et cela le plus légalement du monde !