Sarkozy s’est montré pathétique, empêtré dans une attitude de fausse repentance qu’il ne parvenait pas à exprimer. Lui, si habitué aux mensonges en tous genres, était là incapable de renier son allégeance aux grands patrons du CAC 40. La conclusion est dans le titre : foncièrement il ne regrette pas la Fouquet’s.