JP Basquiat,
vous écrivez : "Sur ces réseaux devraient s’exprimer de nombreux intérêts qui ne
seraient pas seulement économiques, mais inspirés par la recherche d’un
intérêt général global.
Vous situez votre réflexion dans le cadre d’une économie des besoins.
Or nous sommes dans l’ère postindustrielle, et l’économie d’aujourd’hui est une économie des désirs. La différence n’est pas quantitative mais qualitative, puisque les désirs , contrairement aux besoins, sont illimités, et incompatibles : en conséquence, il n’y a pas d’intérêt général défini dans un tel cadre.
Et c’est là que le bât blesse : comment évaluer la légitimité sinon le prix de la satisfaction des désirs ?