Il est clair que le monde devrait se poser la question de la perte de confiance des lecteurs plutôt que d’accuser les intégrationnistes
un exemple :
« Pékin n’admet pas les critiques de Washington sur la Syrie »Point de vue de la chine = 0
point de vue américain = tout l’article.
Est-ce cela une information équilibrée ?
Ce qui n’est pas dit, on l’invente, on fantasme
Ici, clairement, le monde ment par omission.
puisque, de la soi-disant réaction de la chine, il ne donne nul part les raisons, alors qu’on imagine que les chinois argumentent : mais que disent-ils ? on ne sait pas.
On a l’impression qu’il y a d’un coté l’axe du mal, le coté obscur, qu’on diabolise et qu’on n’écoute pas et de l’autre, nous, les bons, les gentils, les démocrates. Nous qui portons la civilisation au milieu de l’obscurité, et dont la parole est la seule respectable, digne de diffusion.
Il y a un moment où le lecteur se sent pris pour un con.
Et Le Monde de jouer la vierge effarouchée : internet, caca.