« cette région où le radicalisme basque concurrence le sarkozysme, par certains aspects. » Vous pourriez développer ?
Il n’y avait pas que des indépendantistes mais aussi des tenants d’un département basque, de la gauche radicale, un peu de PS, des opposants à la LGV, etc. Bref, du peuple dans sa diversité et pas un soi-disant traquenard alliant PS et ETA.
« les jours du préfet sont comptés. » C’est sûr qu’il n’aura pas de promotion, (ou alors aux îles Kerguelen) ceci-dit, tant la préfecture que Alliot-Marie ou Grenet, le maire de Bayonne auraient prévenu des risques. Mais comment faire quand le candidat veut venir et que c’est le président qui va être « accueilli » ?