@Robert Gil,
D’accord avec vous sur : les huit millions de pauvres, trois millions de précaires, trois millions de temps partiels, cinq millions de chômeurs, et des salaires de misère pour la majorité des salariés.
ça c’est le bilan visible encore qu’avec cette campagne on est dans le déni total (Pour l’instant Hollande refuse de l’attaquer de front),
mais il y a les bombes à retardement à savoir les engagements et les traités signés pour sauver l’euro : le MES prévoit très clairement que les peuples seront garants des sommes engagées. Cet organisme privé n’aura pas à rendre de compte à la justice, n’aura pas à communiquer ses comptes, etc, etc... Les chefs d’états qui ont prévu ce mécanisme de dettes permanentes pour enrichir les banques sont des purs naufrageurs de leur nation. De cela, on ne parle pas dans la campagne.