L’auteur a au moins le mérite de ne pas être un faux-nez.
L’écrasement des peuples par une poignée de nantis servis par des politicards menteurs et corrompus, il trouve ça bien, et il le dit sans complexe.
Ce qui lui vaudra l’honneur d’être fusillé de face et sans bandeau sur les yeux.
Ainsi il pourra crier une dernière fois :
Vive la spéculation ! A mort les travailleurs !
avant de s’effondrer héroïquement sous les balles.
Oh ! Que c’est beau !