Je ne prétends à aucun « professionnalisme » ; mon propos est triple : rappeler que le centre de l’affaire avant sa soi-disant « internationalisation », c’est bien le peuple syrien ; rappeler que ces « services » ne sauraient être oubliés à l’heure actuelle comme un « détail de l’histoire » ; montrer enfin que leur problème semble désormais venir du plus intérieur.
Si en parcourant ce site vous considérez que ces rappels pédagogiques ne sont pas nécessaires, je ne partage pas votre point de vue.