Je ne m’étais jamais posé la question sous cet angle, n’avais pas remarqué. C’est probablement ce qu’il manque, des exemples. Sinon on est tenté de vous croire « sur parole », ce qui n’est pas impossible puisque l’on a souvent le même type d’ a priori sur les violeurs/violés (c’est de la faute du provocateur !)