Pour une fois mon cher Morice que vous ne voyez pas dans les militaires des néo-nazis, permettez-moi de vous féliciter pour votre article. Puisque vous avez la langue bien pendue, ne pourriez-vous pas vous intéresser aux Harkis qu’aujourd’hui pour les récompenser de les avoir laisser pas crever mais à peine survivre dans des camps on les décore, alors grisonnants voir en chaise roulante, dans des simulacres de cérémonies aux drapeaux tricolores forts lourds par jour de vent qui une fois repliés s’en retournent à leur douce quiétude en oubliant ce qui vient de se passer