« La solution d’une licence globale est très plaisante, au premier abord, mais il faut savoir que les rémunérations de type collectivistes ne sont guère appréciées par les artistes. »
Je connais en ce qui me concerne pas mal de jeunes artistes, qui, au sortir de leur 5 ans d’école des beaux arts, s’inscrivent au RMI, le temps de trouver les contacts essentiels à la mise en place d’un réseau de contacts, au travers duquel il pourront commencer à vivre de leur art.