Bonjour
Effectivement, cette « fin de règne » confine au délire, au putsch médiatique. Ministre de l’intérieur transformé en gendarme mobile, en chroniqueur nocturne, aux ordres. Stop. Je suis atteint du syndrome de l’overdose au faciès. Victime de l’apparence insupportable d’un pseudo « chef d’état », d’un avorton surréaliste. Prêt à tout pour garder ses privilèges, démesurés pour un si petit homme.
Souhaitons qu’un sursaut de lucidité de la masse citoyenne, si les machines à voter ne sont pas trop faciles à « influencer » le jour du dépouillement, nous guérisse à jamais de l’épisode S-----y