L’expression même « intentions de vote » n’a pas de sens en soi. Ici, il est question des sondages et de rien d’autre. C’est critiquable, mais à partir du moment où c’est le cadre d’analyse qui a été choisi par l’auteur, sa démarche est totalement légitime. Il ne prétend pas prédire ce que seront les résultats le 22 avril, contrairement à ce que font des journalistes qui se fondent sans recul sur des sondages assimilés à des prédictions, que je sache.