La crise, la dette...des mots, pour cacher une réalité simple : on a trouvé depuis les années 70 une autre façon de faire du « gros argent » : prendre aux petits du monde entier par le biais des états.
Lorsque Rostow écrivait que la dernière et ultime état du capitalisme, c’était la consommation de masse...il ne connaissait pas une leçon que donne Galbraith dans son dernier livre (the good society) : il y en a qui ne cherche le profit qu’à la limite des lois...voire dans le banditisme !
Dans une lettre qui accompagnait les grundrisse, K Marx se posait la question, en se disant que la limite ultime du capitalisme était peut-être tout simplement le règne des plus malsains et des plus voyous...
Alors, le « maître et l’esclave » ?