« Nous
sommes au mois de Germinal, les bourgeons gonflés de vie s’annoncent
déjà et dans cette France belle et rebelle, vienne le temps des cerises
et des jours heureux ».
Je n’ai pas écouté le discours, mais si vous retranscrivez conformément les propos du tribun, il faudra lui expliquer que le subjonctif présent du verbe venir n’a pas grand chose à faire là, du moins pas dans sa présente formulation.