Ana Dolores pense également aux guérilleros : “je prie pour eux, pour qu’ils ne meurent pas. Ils ont aussi une mère qui veut les revoir. Je veux juste que la guerre se termine…et revoir mon petit.”
Il est là, le bon sens et l’état naturel des choses chez les êtres humains... Que ceux qui veulent faire la guerre la fassent entre eux, mais qu’ils f**tent la paix à ceux qui n’en veulent pas. On devrait inventer des stades de guerre. Comme les stades de foot, mais avec des murs épais et sans spectateurs. Ah, quelle paix !