Quel pessimisme morbide ! Bien sûr qu’on pleure quand on est vieux, puisqu’on pleure à tout âge.
L’auteur de ce livre voudrait-il nous encourager à partir plus tôt ? Peut-être pour sauver les caisses de santé publiques. Bill Gates n’a-t-il pas dit qu’en laissant mourir une petite vieille on dégageait assez de fonds pour créer dix postes d’instituteur. Pourtant les petites vieilles et les petits vieux étaient fort utiles à la famille... ah, dans le temps... Dans le temps où on se souciait encore d’eux, sans se débarrasser d’eux dans un mourroir.
Ce roman est dans la manie mortelle et cynique de ce début de siècle et de cette fin d’empire. Merci de m’avoir prévenu. Je ne le lirai pas.