Exact ! Ceux qui, avec les dividendes et les remboursements d’impôts, prêtent à l’État en achetant la dette dont sont responsables les politiques avec leur copains financiers et industriels...
Idem, lorsqu’il parle de violence : je tombe toujours dans le panneau.
Je commence toujours par croire qu’il parle des crimes économiques des financiers, des industriels et de leur relais politicards et journaleux...