Et dire que depuis la nuit des temps, on nous bassine avec la formule magique anti-corruption comme quoi il faut payer plus pour que les intéressés ne succombent pas à la tentation.
L’imbécile qui a lancé ça avait une idée derrière la tête comme toujours quand on veut détourner le regard de ce qui corrompt absolument : le pouvoir et le désir malsain de nager dans ses miasmes délétères.
Ils ont beau être indépendants financièrement, ils ne méritent même pas le qualificatif de prostitués : c’est trop digne pour ce qu’ils sont.