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Claude Courty Claudec 21 avril 2012 12:14

Pour aider les indécis à s’y reconnaître et inviter les abstentionnistes à ne pas s’abstenir.

Comment s’habillent les partis ou quand, contrairement à l’adage, l’habit fait le moine.

Les couleurs brandies par les participants, lors des réunions électorales, sont l’un de ces signes offerts à tous, qui ne trompent pas et que peut saisir l’observateur le moins attentif, sachant que drapeaux et bannières sont mis dans les mains de ceux qui les portent par les orchestrateurs de ces grand-messes.

Chez Hollande le drapeau tricolore est noyé dans une profusion désordonnée et multicolore reflétant parfaitement ce que seront les divergences et contradictions auxquelles le pays sera confronté si ce candidat est élu. La dominante rose y résulte d’un mélange de politique nationale, régionale, voire locale ; de syndical, d’associatif ; de tous les intérêts catégoriels et communautaristes qui s’en réclament ou qu’il prétend représenter.

Chez Sarkozy la prépondérance de la nation, de la France en tant que République une et indivisible, au-delà précisément de ces particularismes et des divisions qu’ils véhiculent, est par contre clairement affichée par le foisonnement des seules couleurs nationales. Le tricolore occupe seul la totalité de l’espace

Quant à Mélenchon, Joly et autres pseudo révolutionnaires, le rouge y noie le tricolore, ce qui n’a rien de surprenant. Pas davantage d’ailleurs que le bleu blanc rouge affiché par d’autres, avec davantage d’ostentation et de chauvinisme que de républicanisme, dans ce qui relève plus du concours d’idées que d’une élection présidentielle.


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