Bonjour et bien d’accord avec l’article et la plupart des commentaires : l’arrogance de ce personnage est proportionnelle à la faiblesse supposée de son interlocuteur.
Mais, Philippe, tu aurais pu avoir une petite pensée contrite à l’encontre de cette pauvre Laurence Ferrari, qui, pour une fois qu’elle osait timidement de faire son boulot en posant à Sarko une question qui fâche s’est vu fielleusement renvoyer à la niche avec tout le mépris faussement apitoyé dont il est capable.
D’ailleurs, c’est un peu une réponse à la question qui pousse les « journalistes » à devenir serviles :soit le gite, le couvert et les paillettes pour les gentils, soit la galère, la précarité et l’oubli pour les méchants !
A relire, pour le plaisir : là
Bien à toi