Hitler, lui, faisait brûler les livres. Les censeurs de la bien-pensance, dont la plupart se revendiquait du rouge sang, sont donc en train de virer au brun. Normal, me direz-vous, c’est la couleur du sang séché.
Prenant l’exemple sur leur tonton, le grand Staline, qui faisait effacer des photos les gens tombés en disgrâce, je pense que l’étape suivante consistera pour nos nouveaux totalitaires à effacer de l’Histoire humaine ceux qui ont osé, il y a un an, un siècle ou plus, professer une opinion qui n’a plus l’heur de plaire.
Le négationnisme a de beaux jours devant lui.